Au delà du débat sur la part de l'inné et celle de l'acquis sur la détermination de l'être humain, de sa personnalité, de ses goûts; d'un point de vue métaphysique, peut-on considérer que l'homme soit libre ? Comment évoquer sa responsabilité sans une part de choix et d'autodétermination ? La loi religieuse ménage-t-elle une zone de liberté à celui qui l'observe ?
Le judaïsme depuis la création du premier homme, insiste sur le libre arbitre de l'homme. Si les caractéristiques physiques de l'homme ne peuvent dépendre de sa volonté, il en va tout autrement de ses qualités morales et, a contrario, de ses défauts, voire de ses égarements. Ce sont les limites de cette liberté de choisir que nous tenterons de repérer dans cette étude.
mercredi 19 septembre 2007
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